Lorsque Charlie Chaplin décida d’épouser Oona, qui avait 30 ans de moins que lui, il lui dit :
« Épouse-moi pour que je puisse t’apprendre à vivre et que tu puisses m’apprendre à mourir. »
Elle répondit :
« Non, Charlie. Je t’épouserai pour t’apprendre à rester jeune jusqu’à la fin et pour apprendre de toi comment grandir. »
Ce fut un mariage merveilleux, béni de huit enfants. Ils restèrent ensemble jusqu’au décès de Charlie à l’âge de 88 ans.
Ceux qui aiment vraiment ne sont pas durs, ne se lassent pas, ne fuient pas, n’abandonnent pas et ne trahissent pas. Et ceux qui n’aiment pas se cachent souvent derrière des excuses artificielles, fausses et fragiles.
C’est à cette époque que Charlie composa la chanson Candilejas (Les Feux de la rampe). L’un de ses vers dit :
« Tu es venue à moi alors que j’étais sur le point de partir, tu es la lumière d’avril dans mon après-midi gris et tardif. »
Une ode à son amour pour Oona.
Bonjour Bérénice, tout d'abord je vais bien mais un peu lasse des blogs en ce moment pas grand chose à dire, où bien il y en aurait trop mais sans commentaires donc je préfère m'abstenir.je laisse la vie couler tranquillement au gré des jours qui passent et avec les beaux jours qui arrivent ça va bien .On a coupé enfin le chauffage depuis deux jours on le gardait un peu la nuit, mais fini jusqu' au mois de Novembre. Bel article sur Charlie Chaplin. Et toi comment vas tu???? Bon mercredi et des bisous de Béziers.
RépondreSupprimerCoucou Bérénice, je te comprends parfois les circonstances nous amènent à changer d'air revoir nos priorités aussi... C'est ce que je fais en ce moment d'ailleurs. je vis pour moi et je passe en priorité, le reste vient ensuite voila une bonne résolution pour cette année qui passe à grands pas. Le temps m'est compté et je dois m'activer si je veux faire encore des choses intéressantes avant de quitter cette terre. Quand j'y pense, je me dis que les vingt ans qui me restent à vivre vont passer à toute allure et si je fais un retour en arrière il me semble que les quarante dernières années c'était hier alors tu vois il faut que je m'active et vite fait, hihihi. je parles sans regrets crois moi car la vie est ainsi on n'ait on meurt ainsi va notre destin.je peux dire aussi que ma vie à été bien remplie donc je peux partir sans regrets quand la faucheuse en aura décidé! Bon je ne suis pas la seule car Monica vient aussi je crois ;mais bon les blogs perdent de leurs engouements je trouve en ce moment. Allez des bisous et à plus.
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