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Village Laroque des Albères

le octobre 20, 2024

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Petite balade dans le village de Laroque des Albères

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Peut être une image de Stari Most et Château de Bran

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Le Mariage

LE MARIAGE Superbe poème de Khalil Gibran écrit en 1923. "Oui, vous resterez ensemble Jusque dans le silence de la mémoire de Dieu Mais qu'il y ait des espaces dans votre union Et que les vents des firmaments dansent entre vous. Aimez-vous l'un l'autre mais ne faites pas de l'amour une chaîne Laissez-le plutôt être une mer se balançant entre les rivages de vos âmes. Remplissez chacun la coupe de l'autre mais ne buvez pas à la même coupe. Donnez-vous du pain l'un à l'autre mais ne mangez pas le même morceau. Chantez et dansez ensemble et soyez joyeux Mais sachez demeurer seuls, Pareils aux cordes du luth qui sont seules mais savent vibrer ensemble en musique. Donnez vos coeurs mais sans que l'un et l'autre le garde. Car seule la main de la Vie peut comprendre vos coeurs. Et restez ensemble mais pas trop près l'un de l'autre Car les colonnes du temple se dressent à distance, Et le chêne et le cyprès ne pousse...

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Mon deuil n’appartient qu’à moi. Certains jours, je guéris. D’autres, je me brise à nouveau… Parce que le deuil n’est ni une ligne droite ni une échelle que l’on gravit jusqu’à atteindre un sommet où tout irait mieux. Cela ne fonctionne pas ainsi. Le deuil est une spirale, une force qui m’emporte sans prévenir, m’entraînant entre la douceur des souvenirs et l’acidité brutale de l’absence. Parfois, je crois avancer, respirer plus librement, rire sans culpabilité. Je me lève avec cette sensation que la vie continue et que, d’une manière ou d’une autre, je continue avec elle. Mais il suffit d’un détail, d’une chanson, d’un parfum, d’une phrase que tu as dite un jour… et soudain, je vacille. Je m’effondre comme si le temps n’avait pas passé, comme si la blessure se rouvrait avec la même intensité que le premier jour. Et là, dans l’obscurité silencieuse de la nuit, quand le monde dort mais que moi, je veille, quand l’absence devient plus vaste que la pièce elle-même, je compr...

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La famille devrait être un refuge, mais ce n’est pas toujours le cas. Comme l’écrivain Pedro Chagas Freitas le dit si bien : « Ce n’est pas parce que c’est le sang de ton sang que tu dois tout accepter, tout endurer, ou te détruire pour préserver une illusion d’unité familiale. » Parfois, il faut du courage. Le courage de rompre des schémas toxiques, de briser des cycles de souffrance. Car personne, même sous prétexte d’être de ta famille, n’a le droit de te faire du mal. Aime-toi suffisamment pour ne pas rester là où on ne te respecte pas, là où on ne te valorise pas. La véritable famille, ce sont ceux qui te soutiennent, qui t’aiment sans condition, et qui veulent te voir heureux. Protégez votre cœur, et souvenez-vous : se libérer n’est pas un manque d’amour pour les autres, mais un acte d’amour pour soi-même. Daniel Martin

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