Lorsque tu guéris ta relation avec ta mère

 

Lorsque tu guéris ta relation avec ta mère, ce n’est pas seulement ce lien que tu répares… C’est toi que tu apaises, ton couple, tes enfants, et la vie toute entière.

Nombreux sont ceux qui portent en silence des blessures profondes.

Des plaies qui ne viennent ni du présent, ni du travail, ni même de l’amour partagé.

Elles viennent de plus loin.

De l’enfance.

De maman.

De ce que nous n’avons pas compris, de ce que nous n’avons pas reçu, de ce qui a fait mal… même si cela n’a jamais été dit.

Ce chagrin tu, ce mal non pansé… devient un schéma.

Un fil invisible qui tisse des liens brisés, des relations froides, des cœurs qui n’osent plus aimer.

Car celui qui se coupe de sa mère se coupe aussi de son essence.

De sa force.

De sa lumière.

Ce que nous ne guérissons pas avec elle, nous le rejouons dans le couple.

Ce que nous ne lui pardonnons pas, nous le projetons sur les autres.

Peut-être n’a-t-elle pas su.

Peut-être a-t-elle répété ce qui, jadis, l’a blessée.

Peut-être a-t-elle fait de son mieux avec ses propres cicatrices.

L’honorer, ce n’est pas excuser.

C’est comprendre, du plus profond de l’âme, que sans elle, tu ne serais pas là.

Guérir le lien maternel, c’est enfin pouvoir respirer à pleins poumons, sans que cela fasse mal.

L’âme s’épanouit lorsqu’elle pardonne à celle qui lui a donné le jour.

Il n’est de plus grande liberté que celle de lâcher le ressentiment pour embrasser l’amour.

Aujourd’hui, ferme les yeux, pose la main sur ton cœur, et murmure doucement :

Maman… merci de m’avoir donné la vie.

Je t’accueille telle que tu es. Et je me libère de ce qui ne m’appartient pas.

Car en guérissant ce lien premier, tout commence à s’harmoniser :

L’amour.

La santé.

L’abondance.

Et cette paix, douce et profonde, qui naît en soi.