Je randonne en solo

 

Je randonne en solo,  j ai réduit les relations inutiles, j ai pris de la distance  avec  les relations toxiques, je suis seulement disponible pour être plus présent   avec ceux  ou celles qui partagent mes valeurs comme la bienveillance pour   vivre libre et aimer  la vie ce qui implique une multitude de réflexions et   d'interrogations sur soi-même. 

La vie est trop courte et le temps si précieux qu'il ne faut pas gaspiller avec  des gens qui sont faux et qui sont sans valeurs, c'est mots sont une puissant  invitation à la réflexion ,il nous rappellent que la vie est faite de cycles de  rencontres et d'adieux. n'oubliez pas votre histoire écrite par vous-même le destin ne se trompe pas  il place et retire les gens de votre vie avec précision.

La vie est courte profitez-en, prenez du temps écrire promener ayez du temps  libre pour escalader des montagnes écouter de la musique lire des livres et  prospérité de la vie surtout la vie est tellement éphémère !

Jamais de la vie je changerais pour plaire aux autres.

Achali dunadi mk

 

La famille devrait être un refuge,

 

La famille devrait être un refuge, mais ce n’est pas toujours le cas.

Comme l’écrivain Pedro Chagas Freitas le dit si bien :

« Ce n’est pas parce que c’est le sang de ton sang que tu dois tout accepter, tout endurer, ou te détruire pour préserver une illusion d’unité familiale. »

Parfois, il faut du courage.

Le courage de rompre des schémas toxiques, de briser des cycles de souffrance.

Car personne, même sous prétexte d’être de ta famille, n’a le droit de te faire du mal.

Aime-toi suffisamment pour ne pas rester là où on ne te respecte pas, là où on ne te valorise pas. La véritable famille, ce sont ceux qui te soutiennent, qui t’aiment sans condition, et qui veulent te voir heureux.

Protégez votre cœur, et souvenez-vous : se libérer n’est pas un manque d’amour pour les autres, mais un acte d’amour pour soi-même.

Daniel Martin 

Je suis épuisée d’être toujours

 

Je suis épuisée d’être toujours celle qui reste forte,

De porter les fardeaux des autres sans jamais poser les miens,

De donner sans limite, sans qu’on s’interroge sur ce que je ressens au fond de moi.

Je suis fatiguée de chercher des solutions à des problèmes qui ne m’appartiennent pas,

Comme si ma sérénité passait toujours après celle des autres.

Je suis lasse des explications qui arrivent trop tard,

Des excuses vides de sens,

Et des silences qui laissent des blessures invisibles.

Et puis il y a ces départs soudains, sans un mot,

Alors que je suis celle qui murmure, la gorge serrée :

« Tu vas me manquer. »

La vérité, c’est que je porte une douleur si profonde,

Qu’elle est devenue mon ombre,

Un compagnon silencieux qui ne me quitte jamais,

Tandis que d’autres ne soupçonneront jamais son poids.

Et pourtant, malgré tout, je continue d’avancer.

Parce qu’au fond de moi, j’espère encore,

Qu’un jour, quelqu’un viendra, posera une main sur mon épaule et dira :

« Laisse-moi t’aider à porter ce fardeau. Aujourd’hui, je suis là pour toi. »

Pierre Mercier 

Les douze premiers jours .....